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A tous les âges, on compare ou on est comparé

Pourquoi ?

Par envie, jalousie, volonté de ressembler ou l’inverse, se différencier, connaître sa place dans un groupe, dans la société en fonctions de plusieurs critères, âge, sexe, ethnie, sport…

Quand on se compare, cela provient de nos pensées. Cela consiste à mettre en parallèle 2 éléments pour en saisir les similitudes et les différences.

Ça permet quoi ?

Cela permet de rassurer mais aussi d’évaluer sur ce que nous avons et ce que nous sommes.

Spinoza disait que la comparaison, c’est l’envie, la haine, la tristesse, le sentiment d’insuffisance qui est différent de profiter de la joie d’exister.

Et toi en tant que parent ?

Dès que ton enfant est petit, tu as souvent des phrases de comparaison négatives, « regarde ta sœur, à ton âge elle savait déjà se débrouiller seule… » « Tu as eu combien en math, tu es en dessous de la moyenne de classe, tu as remarqué comment le voisin est super poli. Moi, à ton âge… »

Que dit Françoise Dolto

Chaque enfant est un être unique, arrêtons de le comparer. Au lien de ça, pourquoi ne pas l’aider, le solliciter, l’encourager à se comparer à des forces positives, des modèles, des mentors qui va lui permettre de bien faire, de faire mieux.

Les Ados agissent par mimétisme : regarder un film et vouloir ressembler à ce héro. Il veut posséder ce que les autres peuvent avoir, il admire avec envie, plaisir mais aussi jalousie ce que peut avoir l’autre.

Attention

La comparaison peut nuire lorsqu’elle devient agressive. Cela peut le mettre en colère et tu devras gérer ces moments de mal être sans céder au caprice. Cependant, le seul moment où la comparaison colérique est bénéfique, ce sera lors d’un combat, une compétition. Cela permet de concentrer toute son énergie pour gagner.